La Séquence du Prestidigitateur  

Précédent   La Séquence du Prestidigitateur > Accès public > La vie du forum et du site > Tests

Tests Familiarisez-vous avec ce nouveau forum ici

Réponse
 
Outils de la discussion
Vieux 05/07/2006, 23h01   #21
Martin Thibault
 
Avatar de Martin Thibault
 
Date d'inscription: juin 2006
Localisation: Canada,québec,Montréal
Messages: 717
Martin Thibault
Par défaut

Il suffit d'y pensé pour que l'on y pense encore !!! Sans quoi, je n'y penserais pas !

De la pense ce dépense l'homme mis à part ceux qui compense leurs pensée d'agir par récompense d'accomplissement bien pensé !
Martin Thibault est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 05/07/2006, 23h13   #22
beyrevra 2006
Banni
 
Date d'inscription: juin 2006
Localisation: concession 666
Messages: 703
beyrevra 2006 beyrevra 2006 beyrevra 2006 beyrevra 2006
Par défaut

Bon, ben si quelqu'un doit se dévouer, voilà

Une conception alternative de la grande question du pourquoi

Vers une théorie de la grande question du pourquoi beyrevrienne.

Si on pourrait mettre en doute Sartre dans son analyse circonstancielle de la raison, Jean-Paul Sartre réfute pourtant la conception originelle de la grande question du pourquoi et il réfute en effet l'expression beyrevrienne dans sa conceptualisation.
On ne peut en effet que s'étonner de la manière dont Kierkegaard critique l'abstraction morale. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il systématise l'expression post-initiatique de la grande question du pourquoi.
Il faut cependant contraster ce raisonnement car il envisage l'expression substantialiste de la grande question du pourquoi, et la grande question du pourquoi ne se borne pas à être un tribalisme en tant que concept irrationnel de la connaissance.
D'une part il envisage, par ce biais, la relation entre terminisme et raison, d'autre part il en caractérise la réalité sémiotique en tant que concept transcendental de la connaissance.
Par le même raisonnement, il décortique l'origine de la grande question du pourquoi dans le but de le considérer selon la raison circonstancielle. En effet, on peut reprocher à Nietzsche son antipodisme rationnel, et on peut reprocher à Bergson son extratemporanéité existentielle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il identifie la conception post-initiatique de la grande question du pourquoi.
Cependant, il particularise l'analyse phénoménologique de la grande question du pourquoi, et la grande question du pourquoi ne peut être fondée que sur l'idée de l'abstraction.
Nous savons qu'il se dresse alors contre la démystification universelle de la grande question du pourquoi, et d'autre part, il s'en approprie la destructuration rationnelle en tant que concept irrationnel de la connaissance. Par conséquent, il particularise l'expression beyrevrienne de la grande question du pourquoi pour la resituer dans sa dimension sociale et politique.
Par ailleurs, il donne une signification particulière à la conception beyrevrienne de la grande question du pourquoi et la grande question du pourquoi s'appuie, par la même, sur une raison irrationnelle en tant que concept universel de la connaissance.

Cependant, il conteste l'origine de la grande question du pourquoi, car on ne peut considérer que Chomsky restructure l'analyse idéationnelle de la grande question du pourquoi qu'en admettant qu'il s'en approprie l'origine métaphysique dans son acception post-initiatique.
Cependant, il réfute l'expression métaphysique de la grande question du pourquoi, et le paradoxe du tantrisme génératif illustre l'idée selon laquelle la consubstantialité et le globalisme déductif ne sont ni plus ni moins qu'un monoïdéisme empirique génératif.
Comme il semble difficile d'affirmer qu'il systématise donc la démystification substantialiste de la grande question du pourquoi, de toute évidence il réfute la réalité morale de la grande question du pourquoi.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme beyrevrienne la grande question du pourquoi (voir " quel avenir pour la grande question du pourquoi ? ") dans le but de la resituer dans le contexte intellectuel et social dont il est question.

Par ailleurs, on ne peut contester l'influence de Kierkegaard sur le monogénisme subsémiotique, et premièrement Kierkegaard se dresse contre l'analyse circonstancielle de la grande question du pourquoi; deuxièmement il en particularise la démystification sémiotique dans son acception spéculative. Par conséquent il examine l'origine de la grande question du pourquoi.
Il est alors évident qu'il rejette la réalité phénoménologique de la grande question du pourquoi. Il convient de souligner qu'il en identifie l'expression rationnelle comme concept synthétique de la connaissance ; le spinozisme primitif ou le spinozisme irrationnel ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer la géométrie sous un angle substantialiste.
Nous savons qu'il s'approprie ainsi la conception minimaliste de la grande question du pourquoi, et d'autre part, il en donne une signification selon l'expression substantialiste en regard du nominalisme. Par conséquent, il particularise la relation entre suicide et physicalisme pour le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Cela nous permet d'envisager qu'il s'approprie l'expression idéationnelle de la grande question du pourquoi afin de l'opposer à son cadre politique.

De la même manière, on ne saurait reprocher à Kant son syncrétisme primitif. Le paradoxe du pointillisme illustre ainsi l'idée selon laquelle le pointillisme et l'amoralisme existentiel ne sont ni plus ni moins qu'un amoralisme existentiel minimaliste.
On ne saurait, par la même, écarter de la problématique la critique de l'amoralisme par Descartes, et si la grande question du pourquoi rationnelle est pensable, c'est tant il en particularise la destructuration originelle en tant que concept spéculatif de la connaissance alors même qu'il désire l'opposer à son cadre politique.
Le paradoxe de l'antipodisme déductif illustre pourtant l'idée selon laquelle l'antipodisme minimaliste et l'antipodisme transcendental ne sont ni plus ni moins qu'une raison déductive.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme phénoménologique la grande question du pourquoi (voir " la grande question du pourquoi en tant qu'objet phénoménologique de la connaissance ").

Cependant, il envisage la relation entre indéterminisme et monogénisme, car l'ionisme spéculatif ou la raison ne suffisent pas à expliquer le spiritualisme dans sa conceptualisation.
On ne saurait, par la même, ignorer l'impulsion nietzschéenne de l'esthétique, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Nietzsche systématise la destructuration déductive de la grande question du pourquoi, et si d'autre part il en donne une signification selon l'analyse synthétique en tant que concept transcendental de la connaissance bien qu'il conteste la destructuration rationnelle de la grande question du pourquoi, alors il conteste l'expression métaphysique de la grande question du pourquoi.
Le paradoxe du matérialisme déductif illustre pourtant l'idée selon laquelle la consubstantialité n'est ni plus ni moins qu'une consubstantialité substantialiste beyrevrienne.
C'est ainsi qu'il conteste la démystification irrationnelle de la grande question du pourquoi.

Prémisces de la grande question du pourquoi originelle.

La grande question du pourquoi illustre un matérialisme subsémiotique dans sa conceptualisation.
C'est dans une optique identique que Chomsky conteste l'origine de la grande question du pourquoi. Il faut cependant contraster cette affirmation car il donne une signification particulière à l'expression générative de la grande question du pourquoi, et la grande question du pourquoi ne saurait d'ailleurs se comprendre autrement qu'à la lueur du monogénisme déductif. C'est dans une optique identique qu'il rejette l'origine de la grande question du pourquoi. On pourrait néanmoins mettre en doute Kant dans son approche primitive du monogénisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il interprète la conception rationnelle de la grande question du pourquoi.
D'une part il examine la conception subsémiotique de la grande question du pourquoi, d'autre part il en identifie la destructuration phénoménologique comme concept déductif de la connaissance.
Il est alors évident qu'il particularise la démystification spéculative de la grande question du pourquoi. Notons néansmoins qu'il en restructure la réalité circonstancielle sous un angle rationnel, et le rigorisme ou le rigorisme ne suffisent pas à expliquer le rigorisme moral en regard du rigorisme.
On ne peut, par la même, contester la critique du rigorisme par Leibniz. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il caractérise le rigorisme par son rigorisme phénoménologique.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le rigorisme rationnel à un rigorisme post-initiatique afin de le resituer dans le cadre politique.

C'est ainsi qu'on ne saurait reprocher à Kierkegaard son rigorisme rationnel, et nous savons que Descartes examine la conception rationnelle de la grande question du pourquoi. Or il en conteste l'expression beyrevrienne en regard de la dialectique. Par conséquent, il spécifie la relation entre finalisme et liberté pour prendre en considération la dialectique.
Par le même raisonnement, on ne saurait ignorer la critique nietzschéenne du tribalisme substantialiste, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Leibniz critique la dialectique empirique, contrastons néanmoins cette affirmation : s'il particularise l'expression circonstancielle de la grande question du pourquoi, il est nécessaire d'admettre qu'il en identifie la démystification universelle dans son acception minimaliste.
Premièrement il conteste l'analyse post-initiatique de la grande question du pourquoi; deuxièmement il s'en approprie la réalité rationnelle dans une perspective leibnizienne contrastée. Par conséquent il caractérise la géométrie rationnelle par son holisme phénoménologique.
Par ailleurs, on ne peut contester l'impulsion cartésienne du holisme irrationnel et si la grande question du pourquoi rationnelle est pensable, c'est tant il en décortique l'origine primitive dans sa conceptualisation alors même qu'il désire la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
La grande question du pourquoi s'appuie, finalement, sur une passion originelle de la société.

Cependant, il conteste la démystification minimaliste de la grande question du pourquoi. La grande question du pourquoi pose ainsi la question du spinozisme universel dans son acception chomskyenne.
Le spinozisme rationnel ou le spinozisme minimaliste ne suffisent en effet pas à expliquer la passion universelle dans une perspective leibnizienne. Si la grande question du pourquoi circonstancielle est pensable, c'est tant il en conteste l'expression originelle dans son acception idéationnelle.
Néanmoins, il systématise la réalité rationnelle de la grande question du pourquoi, et la grande question du pourquoi pose d'ailleurs la question de la passion circonstancielle dans sa conceptualisation.

Dans cette même perspective, il se dresse contre la destructuration métaphysique de la grande question du pourquoi, et nous savons que Nietzsche conteste la démystification substantialiste de la grande question du pourquoi, et d'autre part, il en conteste l'analyse primitive dans une perspective kantienne. Par conséquent, il particularise l'analyse irrationnelle de la grande question du pourquoi pour la resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle.
C'est dans une optique analogue qu'il spécifie la conception post-initiatique de la grande question du pourquoi, et on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion cartésienne de la liberté métaphysique, il est alors évident que Leibniz donne une signification particulière à la relation entre certitude et substantialisme. Soulignons qu'il en rejette l'aspect universel dans son acception originelle.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il particularise l'origine de la grande question du pourquoi et si on ne peut en effet que s'étonner de voir Rousseau critiquer le distributionnalisme, il conteste néanmoins la destructuration rationnelle de la grande question du pourquoi et il en donne donc une signification selon l'analyse sémiotique sous un angle empirique.
On ne saurait, par déduction, écarter de la problématique la critique kierkegaardienne de la dialectique.

C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait reprocher à Montague son dogmatisme spéculatif, et on ne peut que s'étonner de voir Descartes critiquer la dialectique morale, néanmoins, il systématise la démystification subsémiotique de la grande question du pourquoi.
Notons par ailleurs qu'on ne saurait écarter de notre réflexion la critique du dogmatisme phénoménologique par Descartes et d'une part il systématise l'expression originelle de la grande question du pourquoi, d'autre part il en décortique la démystification irrationnelle sous un angle spéculatif.
On ne saurait, pour conclure, ignorer l'impulsion nietzschéenne du subjectivisme minimaliste.

Il faut cependant contraster ce raisonnement : s'il donne une signification particulière à l'analyse rationnelle de la grande question du pourquoi, c'est également parce qu'il en spécifie la démystification métaphysique dans son acception cartésienne, car la grande question du pourquoi tire son origine du subjectivisme subsémiotique.
Ainsi, on ne saurait ignorer l'impulsion kantienne de l'immutabilité. Si on ne peut que s'étonner de voir Hegel critiquer l'immutabilité spéculative, Hegel se dresse néanmoins contre l'expression beyrevrienne de la grande question du pourquoi et il s'en approprie, par la même, la destructuration minimaliste comme objet irrationnel de la connaissance.
Cependant, il identifie la démystification rationnelle de la grande question du pourquoi, et la grande question du pourquoi ne saurait d'ailleurs se comprendre autrement qu'à la lueur de la dialectique empirique.

Vers une théorie de la grande question du pourquoi morale.

Nietzsche associe la dialectique empirique et le nominalisme synthétique. La grande question du pourquoi pose en effet la question du nominalisme moral en tant qu'objet existentiel de la connaissance.
Par le même raisonnement, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son approche synthétique de la raison. Il est alors évident que Leibniz particularise l'analyse substantialiste de la grande question du pourquoi. Il convient de souligner qu'il en donne une signification selon la démystification morale en tant que concept synthétique de la connaissance bien qu'il caractérise l'ionisme phénoménologique par son ionisme génératif, et cette problématique s'appuie d'ailleurs sur une raison de la société. Notons par ailleurs qu'il conteste l'expression rationnelle de la grande question du pourquoi, et la formulation bergsonienne de la grande question du pourquoi est déterminée par une intuition circonstancielle du confusionnisme substantialiste.
"Il n'y a pas de grande question du pourquoi substantialiste", écrit en effet Bergson. Néanmoins, Henri Bergson conteste l'origine de la grande question du pourquoi, et la forme kierkegaardienne de la grande question du pourquoi s'apparente d'ailleurs à une représentation originelle de l'antipodisme.

C'est d'ailleurs pour cela qu'on peut reprocher à Leibniz son postmodernisme génératif, et la grande question du pourquoi pose la question du postmodernisme en regard du postmodernisme.
Notons par ailleurs que Henri Bergson conteste l'antipodisme sous un angle primitif tout en essayant de l'examiner en fonction du postmodernisme synthétique. On peut reprocher à Kant sa contemporanéité irrationnelle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il spécifie le finitisme phénoménologique en regard de la contemporanéité.
Cependant, il interprète la réalité post-initiatique de la grande question du pourquoi, et la grande question du pourquoi s'oppose d'ailleurs fondamentalement à la contemporanéité circonstancielle.

C'est dans cette même optique qu'on ne saurait ignorer l'influence de Hegel sur la contemporanéité rationnelle, car le paradoxe de la contemporanéité illustre l'idée selon laquelle la contemporanéité n'est ni plus ni moins qu'une contemporanéité empirique.
Avec la même sensibilité, Nietzsche se dresse contre l'origine de la grande question du pourquoi.
La grande question du pourquoi ne se comprend qu'à la lueur de la contemporanéité existentielle, et c'est dans cette même optique qu'il systématise la réalité subsémiotique de la grande question du pourquoi.
La grande question du pourquoi ne se borne ainsi pas à être une abstraction comme objet irrationnel de la connaissance.
Il faut cependant mitiger ce raisonnement car il interprète la conception synthétique de la grande question du pourquoi et la grande question du pourquoi ne saurait, par la même, se comprendre autrement qu'à la lueur de l'abstraction originelle.

Ainsi, il envisage la réalité subsémiotique de la grande question du pourquoi, et si on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion rousseauiste de l'abstraction, Henri Bergson systématise néanmoins la relation entre dialectique et nativisme et il en spécifie ainsi l'origine post-initiatique dans sa conceptualisation.
Pourtant, il est indubitable qu'il caractérise ainsi l'amoralisme synthétique par son amoralisme rationnel. Il convient de souligner qu'il en systématise ainsi l'analyse primitive en tant que concept déductif de la connaissance ; le monogénisme ou l'amoralisme transcendental ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer l'amoralisme rationnel en regard du monogénisme.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il spécifie, par ce biais, l'origine de la grande question du pourquoi, et que d'autre part il en spécifie la destructuration métaphysique en tant que concept idéationnel de la connaissance cela signifie alors qu'il restructure l'expression morale de la grande question du pourquoi.
Avec la même sensibilité, il systématise le connexionisme universel de la pensée sociale dans le but de le considérer selon le connexionisme sémiotique.

C'est dans cette même optique qu'on ne saurait reprocher à Montague son connexionisme génératif. Si la grande question du pourquoi rationnelle est pensable, c'est tant il en donne pourtant une signification selon l'origine primitive en tant qu'objet métaphysique de la connaissance.
De la même manière, on ne saurait pourtant écarter de cette étude l'influence de Kierkegaard sur le connexionisme universel, et on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, la dialectique à un connexionisme génératif, pourtant, il est indubitable qu'il décortique la relation entre suicide et spiritualisme. Soulignons qu'il en identifie l'origine subsémiotique dans une perspective spinozienne contrastée bien qu'il se dresse contre l'origine de la grande question du pourquoi.
Cela nous permet d'envisager qu'il envisage la réalité sémiotique de la grande question du pourquoi pour l'examiner en fonction du dogmatisme existentiel.
Finalement, la perception hegélienne de la grande question du pourquoi s'apparente à une représentation phénoménologique du primitivisme sémiotique.

Avec la même sensibilité, il donne une signification particulière à la conception primitive de la grande question du pourquoi, et la grande question du pourquoi s'appuie sur un primitivisme rationnel dans son acception kierkegaardienne.
C'est dans une finalité analogue qu'on pourrait mettre en doute Spinoza dans son analyse déductive du dogmatisme. Contrastons cependant cette affirmation : s'il conteste l'analyse primitive de la grande question du pourquoi, c'est également parce qu'il réfute la réalité existentielle dans sa conceptualisation, et l'expression nietzschéenne de la grande question du pourquoi est d'ailleurs déterminée par une représentation phénoménologique de l'universalisme. Mais c'est juste l'opinion de beyrevra hein !
beyrevra 2006 est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 06/07/2006, 00h05   #23
Bec à Fuel
Ricard Inside
 
Avatar de Bec à Fuel
 
Date d'inscription: juin 2003
Localisation: Charbuy (89)
Messages: 8 360
Bec à Fuel a désactivé sa réputation
Par défaut

Le générateur frôle la surchauffe
__________________
Bec à Fuel est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 06/07/2006, 00h08   #24
Ancien membre
Guest
 
Messages: n/a
Par défaut

WOAW !!!

Beyrevra2006 président !!!
  Réponse avec citation Haut de page
Vieux 06/07/2006, 21h57   #25
YUGI
 
Avatar de YUGI
 
Date d'inscription: janvier 2006
Localisation: 37 tours
Messages: 338
YUGI
Par défaut

Citation:
Envoyé par beyrevra 2006
Bon, ben si quelqu'un doit se dévouer, voilà

Une conception alternative de la grande question du pourquoi

Vers une théorie de la grande question du pourquoi beyrevrienne.

Si on pourrait mettre en doute Sartre ...... et l'expression nietzschéenne de la grande question du pourquoi est d'ailleurs déterminée par une représentation phénoménologique de l'universalisme. Mais c'est juste l'opinion de beyrevra hein !
d'apres mes calcus et mes statistiques logiques et conventionelle je vais mulitiplier la masse par les abysse de la connerie humaine et additionner la masse par la matière au carré du pourquoi mais juste copperfield ma dit que l'acide désoxorybonucléique fois hier = le pourquoi donc a.c.h+M2(x+y+z au carré= e=mc2 donc le pourquoi n'est pas la logistique de la connerie humaine mais le pourquoi de la connerie du pourquoi voila mes calcule extrement complexe
__________________
Les sommets de l'intelligence artificielle n'atteindront jamais le niveau des abysses de la connerie humaine. (je sais de quoi je parle)

Dernière modification par Bec à Fuel ; 06/07/2006 à 22h07 Motif: Pas la peine de citer un si long post en entier
YUGI est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 06/07/2006, 22h14   #26
YUGI
 
Avatar de YUGI
 
Date d'inscription: janvier 2006
Localisation: 37 tours
Messages: 338
YUGI
Par défaut

a mon tour la théorie du pourquoi chez les singes parlon de leur comportement chez les inca mais si l'energie et multiplier par la masse a la lumiere au carré avec un amplificateur de lumiere par emision stimuler de radiation mais si les singe connaisse le pourquoi du comment donc le riffle pass ma rien na avoir avec se que je dit aussi le snap change du pourquoi des singes avec l'energie de la masse fois l'atome plus st jacques mais le pourquoi et du adertygloflewrexy de copperfiled
__________________
Les sommets de l'intelligence artificielle n'atteindront jamais le niveau des abysses de la connerie humaine. (je sais de quoi je parle)
YUGI est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 06/07/2006, 23h42   #27
cartomalex
 
Date d'inscription: mai 2005
Localisation: Aisne (02)
Messages: 1 056
cartomalex
Par défaut

mdrr tu me fais trop marrer YUGI
__________________
cartomalex est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 07/07/2006, 16h08   #28
ScreaM
 
Avatar de ScreaM
 
Date d'inscription: juin 2003
Localisation: Paris
Messages: 1 075
ScreaM
Par défaut

Soyons vigilant, parlons du saut de coupe a effet de serre.
Si vous voulez en savoir plus, demandez au Père Castor, c'est l'inventeur.

Bon, le fait n'est pas là, dommage pour les gens qui sont morts de la donne du dessous. Ca ne fait guère de preferences.

Retenons ceci, et surtout profitez de vos ongles.
__________________
"I'm the Lizard King, I can do anything !" Jim Morrison

ScreaM est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 09/07/2006, 10h30   #29
YUGI
 
Avatar de YUGI
 
Date d'inscription: janvier 2006
Localisation: 37 tours
Messages: 338
YUGI
Par défaut

Citation:
Envoyé par ScreaM
Soyons vigilant, parlons du saut de coupe a effet de serre.
Si vous voulez en savoir plus, demandez au Père Castor, c'est l'inventeur.

Bon, le fait n'est pas là, dommage pour les gens qui sont morts de la donne du dessous. Ca ne fait guère de preferences.

Retenons ceci, et surtout profitez de vos ongles.
mais il faut pas oublié le saut de coupe et le flleey pass move inventer par mon amie bob l'eponge et multiplier la masse par l'energie au carré x 41455599875662245998987876625545 il faut additionner un toper track move et un fp orange avec j'ai bien dit avec (je suis pas sur dire avec enfin chez pas) avec le lsp move magic non ?et tres pro
__________________
Les sommets de l'intelligence artificielle n'atteindront jamais le niveau des abysses de la connerie humaine. (je sais de quoi je parle)
YUGI est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 10/07/2006, 01h42   #30
Magic-Prod
 
Avatar de Magic-Prod
 
Date d'inscription: octobre 2004
Localisation: Courbevoie (92)
Messages: 1 150
Magic-Prod
Par défaut

Yugi, il me semble que tu as oublié un zero mutiplié par la racine du paddle au carré au nombre bipolaire que tu as cité
__________________
"oui c est vrai masi je vie de la magie alors c normal ......"


Y.M.
Magic-Prod est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 10/07/2006, 19h11   #31
YUGI
 
Avatar de YUGI
 
Date d'inscription: janvier 2006
Localisation: 37 tours
Messages: 338
YUGI
Par défaut

Citation:
Envoyé par le cartomagicien déchainé
Yugi, il me semble que tu as oublié un zero mutiplié par la racine du paddle au carré au nombre bipolaire que tu as cité
a oui c'est vrais mince merci
sinon ya le spin change multiplier par la racine carré de mes abyses de la connerie de mon inteligense humanos switch des moves
__________________
Les sommets de l'intelligence artificielle n'atteindront jamais le niveau des abysses de la connerie humaine. (je sais de quoi je parle)
YUGI est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 22/07/2006, 22h51   #32
koram
 
Avatar de koram
 
Date d'inscription: février 2006
Localisation: 78
Messages: 300
koram
Par défaut

On ne dis pas mince merci mais mille merci sinistre ................
__________________
Moneyfolies
koram est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 20/08/2006, 10h06   #33
Bobkazar
 
Avatar de Bobkazar
 
Date d'inscription: avril 2006
Messages: 162
Bobkazar
Par défaut

toda raba pour se thread , vé lama lo??
Bobkazar est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 24/08/2006, 16h58   #34
mmooii
 
Avatar de mmooii
 
Date d'inscription: juillet 2006
Localisation: Grenoble
Messages: 113
mmooii
Par défaut

Je peux faire un test moi aussi ?

D'autant plus que je les réussis bien en général ! (même en caporal ou en sergent chef, d'ailleurs !
"Bon, allez, je me barre ailleurs, comme on dit dans l'infanterie" [Retour vers le futur 2] )
mmooii est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 26/08/2006, 20h32   #35
Youpi31
 
Avatar de Youpi31
 
Date d'inscription: avril 2005
Localisation: Poitiers
Messages: 3 375
Youpi31
Par défaut

Je vous rappelle d'ailleurs qu'on ne dit pas "Une bête montagne", mais "Un sot Mont"

c Youpi 2006
__________________
" à chaque fois qu'un magicien ouvre son portefeuille on est agressé par une petite flamme et une grande odeur de napalm ..." Quatrasse
Youpi31 est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 27/08/2006, 00h26   #36
Titi_Malembourg
 
Avatar de Titi_Malembourg
 
Date d'inscription: décembre 2003
Localisation: Toulouse
Messages: 1 751
Titi_Malembourg
Par défaut



























Ayaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !
__________________
" ps: j'aime bien ta signature "
BàF
Titi_Malembourg est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 27/08/2006, 19h59   #37
joker
 
Avatar de joker
 
Date d'inscription: juin 2006
Localisation: Paris
Messages: 65
joker
Par défaut

il ya une chance sur un million pour que quelqu'un connaisse la chanson du hérisson....
__________________
une seule chose est sure, c'est que rien n'est certain...
joker est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 04/09/2006, 12h18   #38
garcimore69
 
Avatar de garcimore69
 
Date d'inscription: août 2006
Localisation: Lyon
Messages: 124
garcimore69
Par défaut

Citation:
Envoyé par Youpi31
Je vous rappelle d'ailleurs qu'on ne dit pas "Une bête montagne", mais "Un sot Mont"

c Youpi 2006
Tu fais bien de le faire remarquer au passage.....De même que l'on ne dit pas "Jéricane" mais "je me marre bien"......
__________________
Plus tu pédales moins fort, moins tu avances plus vite....et réciproquement
garcimore69 est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Vieux 04/09/2006, 12h29   #39
Youpi31
 
Avatar de Youpi31
 
Date d'inscription: avril 2005
Localisation: Poitiers
Messages: 3 375
Youpi31
Par défaut

Certains, dont je tairais le nom, vont même jusqu'à pousser le vice en déclarant : "J'en ricane d'aisance!", mais bon, c'est une minorité!
__________________
" à chaque fois qu'un magicien ouvre son portefeuille on est agressé par une petite flamme et une grande odeur de napalm ..." Quatrasse
Youpi31 est déconnecté   Réponse avec citation Haut de page
Réponse


Utilisateurs regardant la discussion actuelle : 1 (0 membre(s) et 1 invité(s))
 

Règles de messages
Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
Vous ne pouvez pas modifier vos messages

Les balises BB sont activées : oui
Les smileys sont activés : oui
La balise [IMG] est activée : oui
Le code HTML peut être employé : non
Navigation rapide


Fuseau horaire GMT +2. Il est actuellement 10h59.


Édité par : vBulletin® version 3.7.4
Copyright ©2000 - 2024, Jelsoft Enterprises Ltd. Tous droits réservés.
Version française #16 par l'association vBulletin francophone